Le grand méhariste
Comme la mer et comme l’air, le désert impose à l’homme des disciplines qui l’obligent à se surmonter et à accéder à la fois aux plus hauts domaines de la spiritualité, de l’action désintéressée et de l’héroïsme. Joseph Peuré, dans une préface magistrale, présente Le Coq, officier d’infanterie coloniale, « Grand Méhariste » « qui commença par une victoire sur lui-même, victoire qui s’impose à qui veut mériter du Désert » et dont le souvenir est impérissable dans la mémoire de ceux qui « pratiquèrent la même ascène et souffrirent eux aussi l’exaltation des solitudes ». Le Grand Méhariste, c’est une aventure actuelle et vécue – et c’est l’histoire d’un de ceux que le Sahara forgea jusqu’à le promouvoir au rang des Grands exemples. ♦