Après la présidence de José Sarney, dont les résultats n'ont pas été à la hauteur des espérances, c'est au suffrage universel que le nouveau chef d'État, Fernando Collor de Mello, a été élu : c'est un événement « démocratique ». Mais la tâche sera rude, car l'économie brésilienne est au bord du gouffre, malgré des potentialités considérables. L'auteur fait un bilan des atouts et des handicaps de ce « sous-continent d'un continent », vers qui vont tout naturellement nos sympathies.