À la recherche du désarmement : chemins battus et voies nouvelles
Le Vatican ? Combien a-t-il de divisions ?
Staline.
Les tentatives de désarmement, sous des formes variées, jalonnent le cours de l’histoire de la suite de leurs échecs. En sera-t-il toujours ainsi ? Le désarmement, impossible hier, sera-t-il possible demain ? L’étude de cette question d’actualité requiert la participation des milieux de la défense nationale. Si le monde doit s’engager dans la voie du désarmement, il s’agit en effet de soumettre tous les pays à un système techniquement efficace, sans lequel la sécurité d’un seul serait mise en péril (1).
Dans le passé
De tout temps, le vainqueur a fait rendre les armes au vaincu, démantelé ses défenses, rasé ses places fortes. Ce désarmement unilatéral, conséquence d’une guerre victorieuse, a toujours été une condition des armistices ou des capitulations. Sous cette forme, le désarmement est un acte de guerre par lequel le vainqueur entend écarter certains risques et renforcer sa sécurité ; ses effets ne sont pas assurés d’une longue durée.
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