Docteur en droit public et en sciences politiques. Il dirige le Centre européen de recherche opérationnelle militaire à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS) et le Master de sociologie des conflits de l’Université catholique de Paris.
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La puissance aérospatiale s’adapte progressivement aux engagements non conventionnels caractéristiques des « nouveaux conflits » ou « conflits asymétriques ». Composante essentielle d’une force interarmées, elle est optimisée pour traiter avec précision des cibles à haute valeur, incluant les armes de destruction massive. Ses qualités d’endurance et d’ubiquité dans les domaines de la surveillance et de la précision de l’engagement contribueront à soutenir et appuyer les forces de surface contre des adversaires pratiquant des formes de violence collective paramilitaire (guérilla) ou groupusculaire (terrorisme), souvent dans un environnement urbain contraignant. Ses effets consisteront alors à désarmer des organisations paramilitaires s’appuyant sur un réseau discernable d’emprises géographiques et à entraver la liberté de manœuvre des groupusculaires, dans le cadre d’une stratégie globale de lutte contre le terrorisme. Cet article introduit un ouvrage du même auteur : L’ombre déchirée : la puissance aérienne contre la terreur ; L’Harmattan, 2007, 130 pages.
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