Étudiante en master II de recherche en Histoire contemporaine à Lettres Sorbonne, après une classe préparatoire littéraire.
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Après la chute de l’URSS en 1991 et les redéfinitions du concept stratégique (1994 et 2011 (1)) de l’Alliance, l’organisation transatlantique étend son éventail d’action vers la gestion de menaces plus larges : trafic d’armes et de drogue, sécurité maritime, missions de paix, gestion de crise, prévention des conflits, terrorisme, etc. Ainsi, la stabilité du bassin méditerranéen, région éminemment stratégique, devient un nouvel objectif dès 1991 (voir infra). Pourtant, rien n’est évident : quel est le meilleur acteur pour stabiliser la région ? L’Otan, l’Union européenne ou les Nations unies ? Cette présence multilatérale est-elle efficace ? L’Alliance s’insère-t-elle dans les mécanismes pacificateurs de renforcement des dialogues multilatéraux, ou doit-elle intervenir en cas de dernier recours, comme à son origine ? Lire la suite
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