Général de corps aérien (2S). Chercheur associé à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS).
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La guerre des étoiles ne sera pas Star Wars, mais la confrontation et l’empêchement par un adversaire d’utiliser l’écosystème spatial désormais indispensable aux activités militaires. D’où la stratégie spatiale de la France adoptée en 2019, visant à renforcer la résilience de nos outils dont les satellites. Lire les premières lignes
En janvier 1991, la puissance aérienne de la coalition a obtenu la décision face à une armée irakienne formatée pour l’action terrestre. La guerre du Golfe a ainsi révélé l’apport stratégique de la troisième dimension, ouvrant une ère nouvelle largement dominée par les États-Unis ayant tiré les leçons de la guerre du Vietnam. Lire les premières lignes
Alors qu’Ariane 6 va commencer sa carrière en 2022, l’Europe, sous la pression de la concurrence, notamment de SpaceX, prépare déjà ses futurs lanceurs avec le nouveau moteur Prometheus. Un démonstrateur de premier étage réutilisable Themis viendra compléter le projet pour garantir l’autonomie stratégique européenne. Lire les premières lignes
Le Centre national d’études spatiales (Cnes) est un acteur essentiel du spatial en France. Il contribue à sa défense avec de nombreuses responsabilités, en liaison étroite avec la Direction générale de l’Armement (DGA) et les armées. Les évolutions actuelles avec la montée en puissance du Commandement de l’Espace (CDE), feront que le Cnes restera un partenaire privilégié, renforçant la liberté d’action de notre pays. Lire les premières lignes
Whilst military history seems to be stuttering its way to extinction, extra-atmospheric space is at last being recognised as a zone of confrontation. In some ways we currently regard space as we once regarded aviation just before the Great War. At that time, the majority of military commanders still only saw the flying machine as a supporting tool for ground operations among others. Yes, its usefulness for gathering intelligence, communication and directing artillery fires had been recognised, but more offensive missions for aviation had not been considered. The First World War rapidly altered opinions by demonstrating in particular the need to fight in the skies in order to impede the enemy and to conduct one’s own operations. Materiel was therefore adapted to this new mission, men trained for it and ad hoc organisations established to manage it. Lire la suite
L’histoire militaire semble bégayer alors que l’espace extra-atmosphérique est enfin reconnu comme un milieu de confrontation. D’une certaine manière, nous en sommes en effet vis-à-vis de l’Espace où nous en étions à la veille de la Grande Guerre vis-à-vis de l’aviation. À cette époque, une majorité de responsables militaires ne voyait encore dans l’avion qu’un outil d’appui aux opérations terrestres, parmi d’autres. On avait certes perçu son utilité pour le renseignement, les transmissions et le réglage d’artillerie, mais des missions plus offensives n’étaient pas envisagées pour l’aviation. La Première Guerre mondiale a rapidement fait évoluer les avis en démontrant notamment la nécessité de se battre dans le ciel pour pouvoir l’interdire à l’ennemi et y conduire ses propres missions. Les équipements ont alors été adaptés à cette nouvelle mission, les hommes entraînés et les organisations ad hoc mises en place. Lire la suite
La composante aéroportée est un atout majeur dans la stratégie de dissuasion nucléaire, en apportant de nombreuses pertinences, au moment où d’autres États développent des capacités aéroportées de nouvelle génération. Lire les premières lignes
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