Les États-Unis, suivis en cela par la France, justifient le recours à la collecte de données en masse et à la surveillance généralisée par une volonté de renforcer la sécurité. Ces évolutions ne peuvent conduire qu'au chaos, les systèmes d'information et de communication n'étant pas en mesure de remplacer la présence humaine sur les théâtres d'opération.