Le chaos de la guerre est devenu réalité depuis février 2022. Il nous faut passer du tempo des crises à la capacité de répondre aux chaos frontaux. Cela nous oblige à raisonner différemment en s’inscrivant dans le temps long et en prenant en compte la complexité désormais normale. Il nous faut repenser la guerre, c’est la responsabilité de l’État-major des Armées.