Communiqués
Nexter : « Résultats 2006 très satisfaisants »
Le conseil d’administration du groupe Giat Industries s’est réuni mercredi 7 mars pour arrêter les comptes de l’exercice 2006, dont sont extraits les éléments suivants pour le Groupe Nexter. Cet arrêté est effectué pour la première fois en norme IFRS.
Les prises de commandes pour l’exercice se sont élevées à 780 M€, en forte hausse par rapport à 2005 (400 M€). Plus de la moitié de ces commandes sont liées à des contrats à l’exportation, avec notamment les succès du système d’artillerie Caesar® au Moyen-Orient et en Thaïlande et de la tourelle THL 20 pour hélicoptère en Inde, le niveau des commandes étatiques françaises étant en légère croissance entre les exercices 2005 et 2006.
Le chiffre d’affaires du groupe pour 2006 (720 M€) est en croissance de 12 % par rapport à 2005 (644 M€). Le chiffre d’affaires bénéficie notamment de la facturation de 51 matériels Leclerc (chars et dépanneurs) en 2006.
L’élément essentiel de l’exercice 2006, qui dégage un résultat net de 80 M€ (53 M€ en 2005) est constitué par la poursuite de l’amélioration de la rentabilité des contrats (la marge opérationnelle ressort positive à 79 M€ contre 56 M€ en 2005). Retraitée de la part attachée aux exercices antérieurs et aux événements non récurrents, la marge opérationnelle courante atteint 6,2 % du chiffre d’affaires. Ces résultats tiennent compte d’un niveau toujours élevé de dépenses consacrées à la recherche et au développement de nouveaux produits (13 % du chiffre d’affaires).
Le carnet de commandes s’élève à 1 828 M€ et représente environ trois années d’activité pour le groupe. Pour mémoire, les chiffres consolidés du Groupe Giat Industries sont les suivants. Chiffre d’affaires 2006 : 740 M€ (709 M€ en 2005) ; résultat net 2006 : 125 M€ (12,5 M€ en 2005) ; NB : concernant 2005, les chiffres sont proforma.
8 mars 2007
Eurocopter : « L’invention du Fenestron »
Il y a quarante ans, le premier prototype Sud-Aviation de la Gazelle décollait de Marignane. Conçu pour prendre la relève de l’Alouette 2, le nouvel hélicoptère léger de cinq places présentait un fuselage très profilé et une ligne moderne. Mais à l’extrémité de la poutre de queue, le rotor anticouple était des plus classiques, directement emprunté à l’Alouette 2. Ce n’est qu’avec le deuxième prototype qu’apparu le premier Fenestron, innovation géniale due à l’ingénieur en chef René Mouille.
Comme beaucoup de grandes inventions, le Fenestron est né de manière un peu fortuite. Au milieu des années 60, le rotor caréné est dans l’air du temps. Mais les ingénieurs ne songent à le placer que dans l’épaisseur des ailes des prototypes d’avions ou de convertibles à décollage vertical. C’est une mauvaise idée, car en vol d’avancement, les rotors perturbent l’écoulement aérodynamique sur les ailes. René Mouille, a l’intuition que le dispositif serait mieux à sa place pour une fonction secondaire, comme celle par exemple du rotor anticouple sur hélicoptère : il apporterait une plus grande sécurité de fonctionnement au sol et en vol. Le rotor anticouple fournit toute sa poussée en vol stationnaire ou à très faible vitesse, lorsque les écoulements aérodynamiques sur les surfaces arrière sont faibles. Le Fenestron serait alors pleinement exploitable. À grande vitesse, c’est la dérive qui assure l’essentiel de la poussée anticouple et, naturellement, la stabilité en lacet. L’idée est prometteuse et elle testée sur la Gazelle 002 qui décolle pour la première fois le 12 avril 1968. C’est un succès ! Constitué de treize pales métalliques contrôlées avec une articulation de pas général, ce premier modèle est dûment breveté.
Depuis l’EC120 jusqu’à l’EC155, en passant par les EC130 et EC135, le Fenestron est aujourd’hui présent sur la plupart des appareils légers Eurocopter. En quarante ans d’existence il a évolué vers toujours plus d’efficacité : les pales métalliques ont été remplacées par des modèles en composite de verre et la sécurité des opérations s’est doublée d’une diminution record du bruit de fonctionnement grâce à la modulation de la répartition des pales, à l’adoption du stator à pales minces et à la diminution des régimes de rotation.
L’intuition géniale est devenue une remarquable percée technique au service de l’hélicoptère.
19 mars 2007
Thales : « Équipement des forces armées autrichiennes du faisceau hertzien tactique TRC 4000 34 Mbps »
Thales a signé un contrat avec la société autrichienne ESL Advanced Information Technology pour la fourniture de faisceaux TRC 4000 34 Mbps destinés au système PTPRS (Point to Point Radio System) des forces armées autrichiennes. Les livraisons s’échelonneront de la fin du premier semestre 2007 à 2008.
Le système PTPRS est destiné à satisfaire la demande croissante de débit pour les transmissions de données des forces armées autrichiennes et s’intégrera aux systèmes existants.
Le TRC 4000 offre des débits de 64 kbps à 34 Mbps, duplex, et répond aux besoins importants de débits data requis par les applications de type C4ISR. Le TRC 4000 34 Mbps donne au réseau de données PTPRS les moyens performants de communication sécurisées utilisables par les unités tactiques et les bases opérationnelles.
Le contrat fait suite à une série de tests réalisés avec les forces armées autrichiennes, en laboratoire et sur le terrain en conditions opérationnelles. Ces tests sur le terrain ont permis de démontrer une rapidité d’établissement du lien de moins de 4 minutes grâce au système automatique d’alignement des radios TRC 4000.
La flexibilité d’architecture donnée par l’utilisation de fibre optique entre l’antenne et le véhicule de communication (2 km), ainsi que la très grande portée radio, les fonctions de résistance aux brouillages (ECCM) et la configuration répéteur très simple ont largement contribué à la satisfaction des forces armées autrichiennes.
Grâce à l’utilisation de la bande IV (4,4 à 5 GHz) Otan qui permet d’obtenir le très haut débit de 34 Mbps, le TRC 4000 offre une excellente combinaison entre portée radio, débit data et fonctionnalités ainsi qu’une très grande résistance aux brouillages. Il est basé sur les technologies de dernière génération telles que l’antenne panneau intégrée offrant une faible résistance au vent, le lien fibre optique et les équipements compacts facile à manipuler.
Thales est l’un des premiers fournisseurs mondiaux de faisceaux hertziens tactiques. Le TRC 4000 est utilisé opérationnellement par de nombreuses armées, notamment en France, en Suisse et au Moyen-Orient. Le TRC 4000 34 Mbps a été sélectionné pour le programme Falcon au Royaume-Uni.
19 mars 2007
Thales : « La France confie à Thales le développement de l’IFF mode 5 »
La Délégation générale de l’armement (DGA) a attribué à Thales un contrat de développement et de production du nouveau mode IFF crypté (mode 5), défini par l’Otan, pour équiper les forces armées françaises.
Le mode 5 fournira à l’Armée de terre, à l’Armée de l’air et à la Marine nationale une nouvelle capacité d’identification, beaucoup plus sécurisée et performante que le mode 4 actuel. Dotés de ce nouveau mode, permettant d’éliminer tout tir fratricide sur aéronef ou navire, les équipements IFF garantiront pour les décennies à venir l’interopérabilité des forces françaises avec les forces alliées de l’Otan.
Selon le contrat, Thales ajoutera le mode 5 au Combiné interrogateur transpondeur (CIT) du Rafale et au Transpondeur multi-plateforme (TAR). Le mode S de ces équipements, utilisé pour la surveillance aérienne civile et militaire sera également mis à hauteur pour se conformer aux dernières réglementations de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI). Ainsi le Rafale et les autres aéronefs équipés d’IFF aux derniers standards pourront s’insérer sans restriction dans la Circulation aérienne générale.
Ce contrat conforte Thales dans sa position de leader mondial dans le domaine de l’IFF. Il démontre que Thales est prêt à offrir aux forces militaires des pays de l’Otan les capacités mode 5 et mode S pour leurs besoins interarmées d’équipements IFF.
À ce jour, Thales a fourni plus de 15 000 équipements IFF pour plus d’une centaine de plates-formes dans le monde.
20 mars 2007
DCN : « Politique industrielle sur le contrat Fremm »
Une réunion du Comité central d’entreprise (CCE), présidée par Jean-Marie Poimbœuf, président-directeur-général de DCN, a présenté aux partenaires sociaux les grands principes de la politique industrielle de DCN et sa déclinaison sur le programme des futures frégates multi-missions Fremm. Pour assurer la réussite de ce programme, les moyens industriels des sites DCN seront exploités en priorité, en prenant en compte les objectifs ambitieux de coûts.
Le contrat Fremm est un programme ambitieux industriellement par la rapidité de production des frégates et par l’impératif de coût fixés par le client.
DCN a mené une réflexion sur le faire et le faire-faire afin de répondre aux contraintes budgétaires de ce programme. De ce fait, la politique industrielle adoptée s’appuie sur quatre principes.
– Réaliser les frégates dans les meilleures conditions de délais, performance et coût pour la satisfaction de la Marine nationale.
– Positionner le site de DCN Lorient comme maître d’œuvre de la réalisation des huit frégates.
– Dans tous les cas, privilégier les moyens des sites DCN, en prenant en compte les contraintes sur les coûts.
– Adopter une organisation industrielle qui permette de gagner de nouveaux contrats – notamment à l’international – facteurs de charge additionnelle.
Commentant cette politique industrielle, Jean-Marie Poimbœuf déclare : « Cette politique doit permettre d’assurer les perspectives de développement à l’export tant pour les navires armés que pour les services et les équipements. ».
Le démarrage industriel du programme a commencé à Lorient fin février 2007 avec le début d’usinage des premières tôles. Le processus industriel de construction des navires de la tranche ferme est déjà engagé pour une livraison de la première frégate en 2011. La deuxième frégate sera produite 13 mois plus tard puis les navires suivants tous les 7 mois jusqu’en 2016.
27 mars 2007
Eurocopter : « Inauguration de sa nouvelle usine en Espagne »
Le président de la communauté de Castilla-La Mancha, José María Barreda, a inauguré à Albacete la nouvelle usine d’Eurocopter en Espagne. Ont participé à cette inauguration le président d’Eurocopter, Lutz Bertling, le secrétaire d’état à la Défense espagnole et le maire d’Albacete. Les autorités des ministères de l’Intérieur, de l’Industrie et de la Défense et les représentants des principales institutions politiques et administratives de la région assistent à cet événement important pour l’économie espagnole. Le programme de la cérémonie a inclus, en autre, une présentation de la patrouille acrobatique de l’Armée de l’air, Aspa, qui évolue avec des hélicoptères Colibri d’Eurocopter.
L’inauguration de cette usine marque l’engagement à long terme du groupe Eurocopter vis-à-vis de l’Espagne. L’usine permettra de développer une industrie pérenne d’hélicoptères en Espagne, avec un cycle de fabrication complet. Située sur un terrain de 150 000 m², la zone de production couverte atteindra une superficie de 33 000 m², espace qui hébergera les hangars pour les EC135, Tigre, NH90 et ceux destinés aux sous-ensembles. Fin 2010, son personnel comptera 700 employés.
Lors de la cérémonie d’inauguration, le président de la communauté de Castille-La Manche, José María Barreda, a déclaré : « Ce jour est historique pour notre région. Il récompense l’effort de nombreux hommes et femmes visant à placer Albacete sur la carte de l’aéronautique européenne ». Pour sa part le président d’Eurocopter, Lutz Bertling, a souligné « L’événement que nous célébrons aujourd’hui est l’aboutissement d’un travail continu et minutieux d’Eurocopter et des différentes administrations espagnoles auquel a largement contribué la ville d’Albacete par son soutien enthousiaste ».
L’Espagne, troisième pilier du groupe Eurocopter, accueille des activités d’ingénierie, de fabrication, de modernisation, de livraison et soutien logistique. Elle a l’entière responsabilité de la commercialisation, de la direction des programmes et du support à la clientèle. À l’échelle nationale Eurocopter est le principal maître d’œuvre de l’industrie ibérique dans le secteur des hélicoptères. Le pays s’est pleinement engagé dans le développement des principaux programmes : l’EC135, 48 EC135 à destination des forces de sécurité répondront aux besoins du ministère de l’Intérieur, et 4 appareils additionnels, en version EMS, seront affectés à l’Unité militaire d’urgence (UME) sous la tutelle du ministère de la Défense, le Tigre, 24 unités du nouvel hélicoptère de combat Tigre équiperont l’Armée de l’air espagnole. Il est prévu que l’Espagne participe au développement du nouvel hélicoptère de transport tactique, le NH90, l’hélicoptère polyvalent le plus moderne au monde, dont le ministère de la Défense espagnol a déjà commandé 45 unités.
La nouvelle usine d’Eurocopter Espagne à Albacete sera responsable de la production des fuselages arrière de l’EC135 et du Tigre réalisés à partir de matériaux composites, ainsi que des fuselages avant du NH90. Elle abritera les chaînes d’assemblage final des EC135 destinés au marché espagnol, des Tigre HAD espagnols à partir de 2008 et des NH90 en version TTH pour le ministère de la Défense.
28 mars 2007
DCN : « Le rapprochement des activités navales en France de Thales et DCN est opérationnel »
Aujourd’hui, les groupes DCN et Thales ont mis en vigueur avec l’État les accords portant sur le regroupement au sein de DCN de leurs activités du domaine naval de défense en France. Ce regroupement majeur s’inscrit dans la perspective de la constitution d’un pôle naval de défense européen dans lequel DCN et Thales auront un rôle majeur à jouer. Il concrétise également l’entrée de Thales au capital de DCN à hauteur de 25 %.
Cette opération fait suite à la déclaration commune d’intention que les deux groupes avaient signée le 15 décembre 2005 avec Michèle Alliot-Marie, ministre de la Défense et Thierry Breton, ministre de l’Économie, des Finances et du Budget.
Au terme des accords signés, le groupe DCN acquiert la totalité des activités navales de Thales en France (hors équipements) et devient l’actionnaire unique d’Armaris et de MOPA2, la filiale assurant la maîtrise d’œuvre du second porte-avions français. Simultanément Thales entre au capital de DCN à hauteur de 25 % au côté de l’État qui en conserve 75 %. Thales devient « l’actionnaire industriel partenaire » de DCN et les modalités de gouvernance lui permettront de jouer un rôle actif au sein du Conseil d’administration pour soutenir le développement de DCN. Thales dispose par ailleurs de la possibilité de porter sa participation à 35 % à l’échéance de deux ans.
Ce rapprochement est porteur de synergies, en particulier dans le domaine industriel, commercial et dans les domaines amont de la R&D. Il renforcera la compétitivité des offres de DCN au bénéfice de ses clients, y compris pour son développement sur les marchés internationaux. Il entre à présent dans sa phase opérationnelle. Une nouvelle organisation se met en place chez DCN qui permettra l’intégration optimale des équipes qui rejoignent le Groupe.
À titre indicatif, le chiffre d’affaires proforma pour 2006 du groupe DCN dans son nouveau périmètre est proche de 3 Md€ avec un carnet de commandes supérieur à 10 Md€ et des effectifs de 13 300 personnes.
Jean-Marie Poimbœuf et Denis Ranque soulignent que cette opération est porteuse de synergies industrielles et financières « En rapprochant nos activités navales françaises, nous avons pour ambition de mettre en œuvre ensemble une stratégie européenne qui favorise l’émergence d’un leader mondial des systèmes navals, en associant les capacités de DCN et de Thales à celles d’autres partenaires Européens du domaine ».
29 mars 2007
DCN : « Présentation de la nouvelle organisation du groupe DCN »
Suite à la finalisation du projet « Convergence » de regroupement au sein de DCN des activités navales de DCN et Thales France, DCN annonce sa nouvelle organisation.
Cette organisation a été conçue avec l’objectif de mieux satisfaire les clients du groupe, tout en poursuivant sa politique d’innovation et en amplifiant son développement international. Elle vise également à faciliter l’accueil des équipes de Thales France qui rejoignent DCN.
Cette démarche implique un renforcement du pilotage des activités opérationnelles. Dans cette optique, Jean-Marie Poimbœuf, président-directeur-général de DCN, sera désormais secondé par Bernard Planchais, nommé directeur général délégué et mandataire social du groupe DCN lors du Conseil d’administration du 29 mars dernier. Commentant cette nouvelle organisation, Jean-Marie Poimbœuf déclare : « Cette organisation a été conçue au service de nos clients et pour que chaque collaborateur puisse y trouver sa place. Elle permettra également de préparer le groupe au rôle moteur qu’il entend jouer dans la constitution d’un pôle naval de défense européen ».
Le nouveau Comité exécutif de DCN est constitué de Jean-Marie Poimbœuf, PDG ; Bernard Planchais, directeur général délégué ; Bernard Huet, directeur général adjoint ; Pierre Legros, directeur de la division projets ; Pierre Quinchon, directeur de la division navires armés ; Christian Foissey, directeur de la division services ; Bernard Lucas, directeur de la division systèmes d’information et sécurité ; Jacques Mouysset, directeur de la stratégie et du développement ; Philippe Sauvageot, directeur commercial ; Jean des Courtis, directeur administratif et financier ; Hervé Dufoix, directeur des ressources humaines ; Christophe Lachnitt, directeur de la communication.
2 avril 2007
EADS : « EADS et le groupe BCI signent un accord de licence sur les technologies de mobilité ».
EADS et BCI, groupe indépendant d’ingénierie informatique et fournisseur de solutions de mobilité, ont signé un accord de licence portant sur l’ensemble des technologies de mobilité développées par les sociétés du groupe BCI. Cet accord permettra à EADS de compléter ses technologies de mobilité et de les intégrer dans son éventail de produits.
« La mobilité impactera toute activité humaine à moyen et long terme » a déclaré Jean Botti, directeur technique d’EADS. « Pour EADS la mobilité est une opportunité stratégique et nous voulons donc jouer un rôle important dans ce domaine. Grâce à cet accord de licence, EADS prépare activement la transformation technologique que la mobilité sous toutes ses formes apportera ».
Ces nouvelles technologies permettront à EADS d’améliorer encore la performance technologique de ses produits. Ainsi, les plateformes aéronautiques (avions, hélicoptères, drones), les solutions de sécurité terrestres et maritimes, mais aussi d’autres applications liées à l’utilisation des données satellitaires et à l’imagerie par exemple la santé, le transport, bénéficieront de l’apport de ces technologies.
Cette intégration technologique offre en outre des potentiels de croissance nouveaux pour tous les acteurs des secteurs liés aux applications de services géolocalisés. EADS pourra ainsi nouer, le cas échéant, des partenariats avec d’autres acteurs industriels en les faisant bénéficier d’outils intégrés permettant un développement rapide et efficace de ces nouveaux services.
3 avril 2007
DCN : « DCN devient DCNS »
La nouvelle identité a été dévoilée hier à l’ensemble des collaborateurs de DCNS. Elle concrétise la nouvelle configuration et la nouvelle ambition du groupe suite à l’intégration des activités navales de Thales en France (hors équipements).
Le nom connaît une évolution – de DCN à DCNS – et l’univers de marque enregistre une transformation. Cette combinaison permet de constituer un trait d’union entre l’histoire de DCN, à laquelle sont attachés les collaborateurs, clients et partenaires de l’entreprise, et ses développements futurs.
L’évolution du nom est réalisée en passant d’un sigle (DCN) à une marque (DCNS) : dans le nouveau nom, les lettres ne portent plus de signification. En outre, l’ajout du « S » à la racine « DCN » exprime l’expertise du groupe dans la maîtrise d’œuvre de systèmes et dans les services.
La transformation de l’univers de marque s’appuie sur la création d’une typographie unique et d’une charte graphique exprimant son dynamisme et sa capacité d’innovation.
DCNS adopte une nouvelle signature : « Strength at Sea ». Elle symbolise l’engagement de DCNS au croisement de deux univers : la force armée et la mer. Elle communique également l’engagement fort des équipes de DCNS au service des projets navals de ses clients.
Ce changement d’identité vise à moderniser l’image de DCNS. Elle favorisera également la construction d’une reconnaissance simple et forte de l’entreprise afin de la positionner dans l’optique de son développement sur les marchés internationaux et du rôle de premier plan qu’elle entend jouer dans la future consolidation européenne. ♦
4 avril 2007