La Ville Éternelle
Nul mieux que M. Wladimir d’Ormesson, ambassadeur de France auprès du Saint-Siège, ne pouvait évoquer la Ville Éternelle. Il fait appel tout d’abord aux descriptions et impressions des écrivains français qui ont écrit sur Rome. La ville apparaît dans sa diversité et sa splendeur, cependant que se trouve établi un saisissant tableau de cette littérature allant de Rabelais à Claudel. À son tour alors, M. Wladimir d’Ormesson prend la parole à son compte, évoque les nuits romaines et le souvenir de Chateaubriand à Saint-Onuphre ; il ressuscite aussi la belle Pauline Bonaparte qui mourut dans cette villa où l’auteur a installé l’ambassade ; il fait revivre enfin les échos des séjours que Lyautey fit à Rome.
Ainsi se rejoignent et se pénètrent témoignages littéraires et vues actuelles, et se dégage l’essence spirituelle, universelle et artistique de la Ville Éternelle. ♦