La question posée par l'auteur n'est pas sans soulever un monde de difficultés, étant donné la diversité des activités qui intéressent la mer et celle des hommes qui s'y consacrent. D'emblée, l'auteur écarte de ce ministère la défense, donc la Marine nationale, puis il analyse ces activités. Il en conclut que c'est plutôt au niveau du Premier ministre que la responsabilité se situe, grâce, pense-t-il, à une administration de mission qui ne se perde pas dans l'action quotidienne mais exerce ses fonctions dans la conception des politiques, des idées, et la mobilisation des partenaires. Cette solution est de celles dont l'auteur a éprouvé l'efficacité, du fait des postes qu'il a occupés et de l'expérience qu'il a acquise dans un organisme comme la Datar (Direction de l'aménagement du territoire), où il a passé une quinzaine d'années de sa carrière.