Alger - Été 1957 - Une victoire sur le terrorisme
Ce livre est une réponse aux accusations de torture (troisième bataille d’Alger !), lancées contre le général Schmitt, par des terroristes algériens, relayés par Le Monde et France 3. Ces médias ajoutent à leur critique le rôle du chef d’état-major dans la guerre du Golfe et dans l’assaut de la grotte d’Ouvéa. Le général Schmitt n’a aucun mal à démontrer que sur ces derniers points ses contradicteurs sont mal informés.
Plus argumentée, sa démonstration sur la bataille d’Alger est tout aussi convaincante. Étant adjoint de la CA du 3e RPC, le lieutenant Schmitt a participé à la deuxième bataille d’Alger, du 20 juillet au 3 septembre 1957, action qui a permis de démanteler définitivement les réseaux terroristes dirigés par Yacef Saadi. Pour ce faire, le 3e RPC, aidé du 9e Zouave et des Bleus du capitaine Léger, a procédé par infiltration et manipulation de ces réseaux, sans avoir besoin de pratiquer la moindre brutalité. En effet, l’un des accusateurs du lieutenant Schmitt, Ali Moulay chef de région terroriste, a dénoncé tous ses complices. Depuis la mise au point du général, il n’apparaît plus dans les médias.
Après avoir souligné les contradictions du récit de la soi-disant torturée Louisette Ighilariz, le général Schmitt se refuse à toute repentance. À la suite des attentats du 11 septembre, écrit-il, « il faut que l’acte terroriste soit condamné en tant que tel… Les terroristes et leurs complices sont et demeurent des criminels… Présenter ces criminels (dans les médias français) comme des militants, voire des martyrs, c’est d’abord insulter leurs victimes… et donner à penser qu’il y aurait des terrorismes légitimes ». ♦