S’il est exact que le développement de l'utilisation de l'Espace pour les télécommunications, l'observation, et maintenant l'action – offensive ou défensive –, est à l'ordre du jour, il faut bien reconnaître que, dans l'ensemble, les auteurs ont toujours quelques difficultés à se détacher d'une vision purement « terrestre » des choses. L'auteur aborde justement l'aspect maritime de ces problèmes, c'est-à-dire « spationaval », indissociable du premier. En outre, devant les exigences financières des programmes spatiaux futurs – et nécessaires –, il n'hésite pas à promouvoir la seule idée raisonnable : l'Europe spatiale.