Publiée il y a dix ans (Défense nationale n° 628, mars 2001), cette réflexion est à relire aujourd’hui, à la fin de l’année 2011. Elle prend, en effet, un relief singulier voire prophétique au moment où les vertus de l’euro s’estompent, où les candidatures se raréfient et où la défense de sa stabilité remet en question l’intégration de l’Union européenne qui se différencie de celle de l’Eurozone.