Si le consensus sur la défense est de règle avant l’élection présidentielle, se cachent derrière lui des problématiques sensibles et dont le traitement va être immédiat (effort budgétaire, défense antimissile, retrait d’Afghanistan) et des questions de fond aujourd’hui occultées ou différées (posture nucléaire, Europe de la défense et territoire national). L’auteur suggère d’aborder ces points sans tarder, pendant la campagne.