(1913-1990) Général français. Saint-cyrien. Il opte pour l’Infanterie, et combat au cours du Second conflit mondial, en Indochine et en Algérie, où il commande un régiment et un secteur. Breveté en 1955, il est nommé général en 1963, il commande l’École nationale des sous-officiers d’active (ENSOA) et est le dernier commandant de l’École d’application de l’infanterie (EAI) à Saint-Maixent avant son transfert à Cherchell (Algérie). En 1967, il devient directeur de l’Enseignement militaire supérieur (EMS) et commandant l’École supérieure de Guerre (ESG). Il achève sa carrière général d’armée, gouverneur militaire de Paris (1971-1973).
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Si la dissuasion est bien la clef de voûte de notre système de défense, l’un de ses piliers essentiels est la « défense civile », prévue par l’ordonnance du 7 janvier 1959 et organisée par le décret du 13 janvier 1965. Ce pilier est-il suffisamment solide ? Que faut-il faire pour qu’il le soit ? Telles sont les questions auxquelles répond l’auteur. Après avoir commandé l’École supérieure de Guerre (ESG) et avoir été major général de l’Armée de terre, il est actuellement Gouverneur militaire de Paris (GMP) et Commandant la 1re Région militaire. Les opinions émises ici par lui n’engagent que sa seule responsabilité. Lire les premières lignes
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