Stagiaire de la 110e promotion du Cours supérieur d’état-major, passé par l’Enseignement militaire supérieur scientifique et technique. Ingénieur diplômé de l’École nationale des ponts et chaussées.
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Devant toute manifestation nouvelle de violence armée, dès lors que sa prolifération et son ampleur sont perçues comme une menace, la tentation est grande d’y voir — dans la confusion des premières analyses — l’apparition d’un nouveau type de conflit. Il en résulte alors presque inéluctablement une codification nouvelle ou tout au moins actualisée du phénomène, au regard quasi exclusif de son intention. Cette tentation est d’ailleurs d’autant plus grande qu’elle n’est pas nouvelle : elle n’a pas manqué, en particulier, de conduire à l’élaboration de nombreux termes décrivant pourtant des phénomènes extrêmement similaires : lutte de partisans, petite guerre, insurrection armée ou guerre révolutionnaire, pour n’en citer que quelques-uns. Lire la suite
C’est grâce à sa formation d'ingénieur diplômé de l’École nationale des ponts et chaussées que l'auteur a acquis son expérience dans les domaines de la gestion de l’eau et plus largement de l’environnement, ainsi que par des études au profit du ministère de l’Environnement (1995), des agences de l’eau ou de grands groupes industriels (1996). Lire les premières lignes
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Novembre 2025
n° 884
La Charte de Paris (1990), une ambition déçue - Adapter nos armées pour faire la guerre
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