Guillaume Tissier dirige le pôle Risques opérationnels de CEIS. Cette équipe intervient à la fois en matière de business intelligence et de sécurité des systèmes d'information. Elle anime l'Observatoire de la guerre informatique (OGI) créée par la Délégation aux affaires stratégiques (Das) en 2005. Guillaume Tissier heads the 'operational risks' section at the European Company for Strategic Intelligence (CEIS)
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De nombreux pays travaillent aujourd’hui à la mise en place de capacités offensives en matière de guerre informatique. Avec la publication du Livre blanc sur la Défense et la Sécurité nationale qui a popularisé le concept de « lutte informatique offensive », la France n’est pas en reste. Le premier défi est de mettre en place un cadre d’emploi compatible avec le droit international.
Les États-Unis considèrent maintenant le cyberespace comme un véritable espace de bataille. Organisation, doctrine, concepts opérationnels, exercices… : de multiples actions ont été engagées afin de disposer à terme d’une véritable capacité offensive. Mais les défis restent nombreux : règles d’engagement, acceptabilité politique, recrutement et maintien en conditions opérationnelles…
L’entreprise communicante a gagné en compétitivité et en productivité, mais elle a du même coup perdu en sécurité. Les risques ne cessent en effet de se multiplier et de se complexifier : contrefaçons, piratages informatiques, débauchage de personnel, tentative de déstabilisation… La mise en place d’un nouveau modèle de sécurité plaçant le management des risques et l’intelligence économique au cœur du dispositif est donc urgente. C’est à ce prix que sécurité peut rimer avec ouverture.
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