Secrétaire général du Groupe d'études des problèmes internationaux et de défense (Gepid).
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Dans un article publié dans notre revue de janvier, l'auteur avait souligné l'importance de la crise économique, politique et sociale que traverse l'Iran, en raison d'un système interne bloqué. Ici, il décrit les contraintes politiques extérieures qui compliquent un peu plus encore la situation de ce pays.
L'auteur avait déjà abordé ce sujet dans notre revue en mars 1985, sous le titre : « Pour une gestion intégrée des risques d'environnement international ». Quatre ans plus tard, il nous fait le point sur le traitement de ces risques par les organismes intéressés et aussi par les pouvoirs publics.
Dans nos livraisons de décembre 1986 et janvier 1987, l'auteur a montré que les objectifs du terrorisme international correspondaient souvent à ceux de la stratégie globale de l'URSS. Appliquant cette démonstration, il expose maintenant les degrés d'insertion du terrorisme dans cette stratégie d'après deux critères : la convergence d'objectifs et la perte d'autonomie stratégique. Il pense ainsi renouveler l'analyse de ce phénomène complexe et élargir les moyens de son élimination.
Secrétaire général du Groupe d'études des problèmes internationaux et de défense (GEPID), l'auteur a étudié soigneusement ce phénomène très actuel et inquiétant qu'est le terrorisme. Après avoir analysé les événements récents, il nous montre que l'absence apparente de lien entre les diverses actions cache en fait le jeu réel des Soviétiques, et que celles-ci s'insèrent parfaitement dans leur stratégie globale. La richesse de cette étude nous a obligés à la présenter en deux livraisons.
L'auteur avait étudié dans un premier article la fonction propagande et la stratégie globale de l'URSS. Ici, il tente de nous apporter quelques réponses à ce défi lancé aux Occidentaux. Les lecteurs apprécieront la richesse de son argumentation, mais le sujet est délicat et l'auteur estime qu'il nécessite d'autres réflexions approfondies.
Cet article est une version révisée et approfondie d'une communication faite au cours du IIe colloque international d'études stratégiques du Centre Manlio Brosio de Turin et parue dans la revue italienne Strategia Globale. Il nous fait percevoir le rôle et l'enjeu de la propagande qui s'intègre dans la stratégie globale de l'URSS. Dans un second article, l'auteur s'efforcera de nous apporter quelques réponses à un défi dont nous. Occidentaux et démocrates, ne concevons pas toujours l'importance si tant est que nous en ayons une réelle conscience. Nous remercions la revue Strategia Globale de nous avoir permis d'utiliser la riche matière d'une des communications du colloque.
L'auteur traite des risques politiques liés aux événements internationaux, et de leur prise en compte d'une façon rationnelle et systématique par une gestion intégrée.
L'auteur aborde ici les relations de domination-dépendance que l'Union soviétique exploite dans le Tiers-Monde grâce à ses relations commerciales.
Cet article est le complément d'un premier du même auteur, paru dans notre numéro de mars, sur les guerres limitées. En pratique, il se suffit à lui-même en proposant au lecteur une réflexion sur l'origine des affrontements armés qui peut être attribuée aux difficultés que les gouvernements peuvent rencontrer pour prendre une décision dans des cas graves et souvent urgents, par manque d'organisation ou d'information, soit que celle-ci ait fait défaut soit qu'elle ait été mal interprétée. C'est ce que l'auteur appelle les crises de décision. Dans une deuxième partie de son article, il va cependant plus loin. Pour lui les affrontements limités qui résultent de ces crises de décision, ne règlent pas les vrais problèmes. C'est ce qu'il appelle les crises d'exploitation. Il est alors conduit à insister sur les problèmes de « crisis management ». Il faut même étudier les conflits à leur origine, pour voir quels sont les mécanismes belligènes, ce qui n'est pas sans soulever de nombreuses discussions entre écoles diverses. Il est surtout important de disposer d'une organisation adaptée au traitement des crises.
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