Avec une masse musculaire et une aptitude aérobie moindres, les femmes sont pénalisées dans les tâches militaires impliquant le déplacement de charges lourdes. L'amélioration de la sélection et l'individualisation de l'entraînement pourraient contribuer à réduire ces différences d'aptitude. Les autres différences physiologiques liées au sexe n'ont pas - ou peu - d'impact sur l'aptitude physique au combat.