Après les articles précédents, raisonnablement favorables à l'entrée de la Grèce, du Portugal et de l'Espagne dans la Communauté économique européenne, voici le point de vue de deux économistes qui, en ce qui concerne l'Espagne – mais leurs conclusions peuvent dans une certaine mesure s'appliquer aux deux autres candidats – soulignent les difficultés de l'entreprise et les risques qu'elle comporte pour les économies concernées, celles des Neuf aussi bien que celles des candidats, si un certain nombre de conditions ne sont pas réalisées au préalable.