Conclusion
Nous arrivons au terme de ce débat, j’en retiens ce tableau étonnant que l’on vous a décrit, mais aussi, en fond de toile, que de points d’interrogation dans tous les domaines, sans doute même, que d’incertitudes sur l’avenir ! Et encore, que de conflits entre les dirigeants présents et futurs ! S’il ne fallait retenir qu’une seule leçon des propos qui ont été échangés ce soir, ce serait celle-ci : l’homme qui dirige la Russie et son entourage immédiat ont vraiment voulu la renaissance d’une grande nation russe, basée sur un couple russo-ukrainien, lequel est manifestement ancré dans le destin de ce pays.
Au « tsar Boris » on peut reconnaître un flair politique comme un sens médiatique certain. Il tient bien en main un pays en plein désarroi : le problème est que sa santé est fragile, et cela laisse à penser que la succession est ouverte. Que sera-t-elle ? La Russie, qui est la pièce maîtresse de la CEI, doit retrouver une première place dans le concert international. Saura-t-elle s’y appliquer ? Il est normal que nous nous quittions sur cette interrogation. ♦