Après avoir, dans une première partie, identifié la menace biologique, l'auteur, dans cette seconde partie, analyse la menace sociétale qui réside essentiellement dans l'utilisation de la génétique à des fins que l'éthique réprouve et la menace économique qui réside essentiellement de la mainmise de grandes sociétés sur des pans entiers de l'économie. Dans le cas des OGM, des menaces supplémentaires apparaissent par suite des tergiversations des décideurs politiques et de l'occupation du terrain médiatique par des mouvements dont le but premier est, souvent, la remise en cause du modèle économique de notre société. Des décisions s'imposent pour éviter à la France de perdre pied par rapport à ses concurrents et pour rassurer nos concitoyens.