Après avoir dressé le panorama géostratégique résultant du 11 septembre 2001, de la 2e Intifada et de la guerre en Irak, l’auteur étudie l’avenir du Partenariat euro-méditerranéen (PEM), bien mal en point. Il recommande que dans le Proche et le Moyen-Orient l’Europe reprenne l’initiative, laquelle restera distincte, mais complémentaire du Greater Middle East américain.