Fidèle à sa tradition d'impartialité et dégagée de toute tutelle, la Revue de Défense nationale a cru bon de soumettre à ses lecteurs une réfutation, – si vif qu'en soit le ton – très franche des thèses soutenues ici même, par le lieutenant-colonel Rogé (« Les Aviations allemande, française et anglaise du 10 mai au 25 juin 1940 ») en février 1951.