L'auteur poursuit ses réflexions sur ce continent qu'il connaît si bien et qu'il aime tant, l'Afrique. Celle-ci l'inquiète car son avenir paraît sombre, d'autant plus qu'une certaine désaffection semble se faire jour chez les Occidentaux à son égard. C'est donc avec réalisme et encouragement qu'il incite les Africains à « concilier les vieux dieux tutélaires et les nouveaux génies promoteurs de progrès ».