En mai 1992, l'auteur avait déjà traité de la défense européenne et se demandait en particulier si l'esprit de défense n'était pas lié essentiellement au sentiment national et non « communautaire ». Cette fois-ci, il prolonge en quelque sorte ses réflexions sur cette défense européenne dont on parle tant mais qui ne se constitue guère, et explicite un certain nombre de conditions indispensables à sa mise en place et à son efficacité.