Les arguments développés sont très intéressants mais doivent être appréciés surtout comme une base de réflexion et de discussion. En effet, il est une exigence dans les armées qui risque de ne pouvoir être prise en compte par la sous-traitance : la disponibilité, c’est-à-dire la permanence 24h/24 et 365jrs/365. Et si les prestataires de services satisfont à cette exigence, les coûts seront augmentés en conséquence ; les économies annoncées seront donc remises en cause. Un autre risque doit être évoqué : celui venant des « civils » refusant de remplir leur tâche par crainte d’un danger ou pour motif politico-syndical.