Dès lors que le risque zéro n’existe pas, ce qui importe c’est de construire les installations complexes à l’écart des pôles de l’activité humaine d’aujourd’hui mais aussi de demain. Si un accident imprévu et imparable se produisait, son impact aurait été minimisé par méthode. Dans cet esprit, renoncer au nucléaire serait ne pas croire que la sûreté est possible et choisir un autre mode de société, énergétiquement très sobre.