La disparition du président Chavez pose la question légitime de la survie du modèle politique qu’il avait établi. Pour l’auteur, si les transformations du Venezuela placent incontestablement ce pays riche sur une trajectoire de puissance latino-américaine, le pragmatisme foncier de Caracas devrait continuer à écarter la possibilité qu’il devienne un perturbateur régional.