Premier ambassadeur de France au Kazakhstan (1992-1995) après avoir été conseiller économique et commercial près l'ambassade de France à Vienne.
12 résultats (11 articles - 1 Tribune - 0 e-Recension)
Une dissuasion réfléchie (T 452)
- Bertrand Fessard de Foucault - 4 pagesRéfléchir à la dissuasion, tel était le programme de la journée d’études organisée par le club Participation et progrès qui a réuni à l’Assemblée nationale un grand nombre d’experts plus ou moins engagés d’une question au cœur de la souveraineté et de la défense nationales. Il en est rendu compte succinctement.
L’opération Serval va-t-elle constituer un tournant dans la relation entre la France et l’Afrique ? Va-t-elle permettre de renouveler une relation accaparée par des liens trop souvent personnalisés, affairistes, oblitérant d’un commun accord l’État de droit. Une nouvelle mobilisation de la jeunesse française et de l’Europe pourrait renouveler la donne. Telle est la thèse forte de l’auteur. Lire les premières lignes
Dans ce regard panoramique qu’il porte sur la gouvernance mondiale et ses errements actuels, l’auteur puise la matière d’une nouvelle pratique des relations extérieures de la France avec son environnement, notamment européen. Lire les premières lignes
L'auteur, ancien ambassadeur au Kazakhstan et auteur régulier avait évoqué, l'été dernier, la construction de l'Europe. Cette fois-ci, il nous fait connaître ses réflexions sur l'évolution de l'histoire à la lumière des derniers événements mondiaux.
L'auteur nous livre une étude très approfondie sur l'Europe et son avenir, tels qu'il les souhaite. Ce texte a été rédigé avant l'intervention au Kosovo.
L'auteur, ancien ambassadeur de France au Kazakhstan, nous livre ses réflexions sur le rôle du chef de mission diplomatique, en poste dans un pays étranger, dans la recherche et l'exploitation du renseignement. Il décrit également les méthodes, les atouts et les difficultés, la question parfois délicate des relations avec la maison-mère. Lire les premières lignes
L'auteur nous livre ses réflexions personnelles sur les questions essentielles qui se posent à notre politique extérieure. Il donne aussi quelques conseils qu’il serait souhaitable de suivre.
La dislocation de l'URSS et « l'agrandissement » de l'Europe occidentale en direction de l'est nécessitent des structures nouvelles qu'il ne sera pas aisé de mettre en place. L'auteur, conseiller économique et commercial près l'ambassade de France à Vienne, qui encore récemment avait traité dans notre revue de l'Espace économique européen, nous livre cette fois-ci ses réflexions sur une nouvelle architecture du Vieux Continent.
Dans ce nouvel article sur l'Espace économique européen, plutôt que de décrire la future zone intéressée et le détail de ses mécanismes ou de ses probables restructurations commerciales, qu'on ne peut connaître le traité étant seulement en cours de paraphe, l'auteur, conseiller économique et commercial près l'ambassade de France à Vienne, nous livre ses réflexions sur la négociation elle-même et ses enjeux pour les partenaires.
C'est avec un grand intérêt que nous accueillons dans notre revue un article sur l'Autriche car, il faut le constater, nous ne faisons souvent qu'évoquer cet État pourtant situé au cœur du Vieux Continent et constituant un relais multiple avec les pays de l'Est européen. Nous remercions donc particulièrement l'auteur, conseiller économique et commercial près l'ambassade de France à Vienne, de son analyse très complète et de son plaidoyer judicieux en faveur de relations plus étroites entre l'Autriche et notre pays.
On tente de donner ici une explication de la crise actuelle d'une des organisations africaines, jusque-là parmi les plus exemplaires. La raison pour laquelle divers États s'en retirent depuis deux ans ne tient pas en la seule coïncidence chronologique avec la demande de ces mêmes États de changer leurs relations de coopération avec la France. Il s'agit au contraire d'une évolution d'ensemble du continent africain qui le porte à de nouvelles et plus pratiques organisations de la coopération entre les jeunes nations qui le composent. En acceptant cette évolution, ni la France, ni surtout l'Ocam ne devraient y perdre et la coopération inter-africaine, dont les calamités naturelles de ces temps derniers montrent la nécessité, a tout à y gagner. Telle est la thèse que l'auteur, ancien élève de l’École nationale d'administration (ENA) et docteur en droit, soutient ici, n'engageant que sa seule responsabilité.
Un aperçu est donné ici des relations existant entre les quatre États riverains du fleuve Sénégal : la République du même nom, la Guinée, le Mali et la Mauritanie – relations dont on sait la crise actuelle. L'organisation en cause est le fruit de bien des efforts et le milieu géographique est tel qu'il impose, sinon l'unification de la région, du moins la coordination des politiques économiques et sociales des pays de ce bassin fluvial. C'est ce que s'efforce de montrer l'auteur, ancien élève de l’École nationale d'administration (ENA), que son service au titre de la Coopération, puis de fréquents séjours dans cette partie de l'Afrique, ont familiarisé avec les problèmes qui s'y posent.
12 résultats
Colloques, manifestations, expositions...
Institutions, ministères, médias...