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Quelques décennies après les « indépendances », il faut bien se résoudre à reconnaître que nombre de pays du Tiers-Monde sont dans une situation économique et sociale effroyable. L'auteur, qui a séjourné longuement dans certains de ces États, insiste pour que soit recherchée une solution « plus sociale que financière, plus humaine que technique », et souligne le rôle primordial que doit jouer l’Organisation internationale du travail (OIT) dans cette tâche.
Le 25 janvier 1971, le général Amin s'emparait du pouvoir à Kampala tandis que son prédécesseur, le Président Obote, devait se réfugier à Dar es Salam. L'auteur retrace ici les origines et les circonstances de ce coup d'État. Par son action habile, le général Amin a réussi, en moins d'un an, à asseoir son autorité sur un pays encore divisé par les particularismes ethniques et à rendre à une économie qui est la plus richement dotée de toute l'Afrique orientale en ressources minières, la dose de libéralisme indispensable au retour de la confiance chez les investisseurs étrangers. Il a normalisé ses relations avec ses voisins soudanais et tanzaniens. Pour l'auteur, qui connaît bien ce pays et en a goûté récemment les charmes touristiques – autre richesse de l'Ouganda – nul doute qu'il ne s'agisse là d'un coup d'État réussi. Lire les premières lignes
Empire surgi du fond des âges, l’Éthiopie est confrontée à trois problèmes : la rébellion en Érythrée, la normalisation de ses rapports avec le Soudan à l'ouest et la Somalie à l'est, enfin, le plus redoutable de tous, celui de l'évolution interne marquée il y a deux ans par l'agitation des étudiants. Monarchie quasi absolue, entourée d’États d'inspiration socialiste, championne de l'unité africaine, l’Éthiopie bénéficie de l'appui américain tout en entretenant de bons rapports avec Moscou et Pékin. Lire la suite
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