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Longtemps figé, le droit de la mer doit évoluer rapidement si l'on ne veut pas voir l'utilisation des espaces maritimes dégénérer en conflits sanglants. La Conférence des Nations unies qui a tenu cette année à Genève sa 3e session n'a pu aboutir à un accord satisfaisant. Des thèses extrêmes s'y sont affrontées, les intérêts des États côtiers s'opposant en général à ceux des États dépourvus de littoral ou à plateau continental enclavé. L'auteur résume ces thèses « maximalistes » et dégage quelques remarques et conclusions pour surmonter ces oppositions et permettre aux travaux de la prochaine session, à New York en 1976, de progresser.
Dans deux précédents articles (avril et mai 1975), l'auteur, de retour d'un séjour en Afrique du Sud, a successivement rappelé les données historiques, politiques et économiques, puis analysé les menaces qui pèsent sur ce pays face à un environnement international qui, malgré les tentatives d'ouverture récentes, lui demeure généralement hostile. Dans ce troisième et dernier article, l'auteur, après avoir analysé les fondements de l'apartheid, s'interroge sur les perspectives d'évolution de la politique intérieure de l'Afrique du Sud. Lire les premières lignes
Après un premier article (avril 1975) dans lequel il a retracé l'évolution historique et donné un aperçu politico-économique de l'Afrique du Sud où il vient d'effectuer un voyage d'études, l'auteur souligne aujourd'hui l'importance stratégique de cette puissance africaine majeure face aux dangers maritimes – intensification du trafic océanique contournant Le Cap et présence renforcée des pavillons de guerre américain et soviétique en océan Indien – et aux déséquilibres résultant de l'évolution très rapide vers l'indépendance de l'ancien empire portugais. Un troisième article sera consacré à l'apartheid et aux perspectives d'évolution. Lire les premières lignes
Par son régime d'apartheid, l'Afrique du Sud parait défier l'évolution en cours dans le reste du monde. Mais l'Afrique du Sud c'est aussi une position stratégique unique et un capital de ressources, notamment en or et en uranium, fabuleux. Au moment où les « provinces » portugaises qui la jouxtent vont faire place à des États noirs indépendants, où le pouvoir « minoritaire » blanc de Rhodésie devra prochainement composer avec les nationalistes noirs, les 4 millions de Blancs d'Afrique du Sud pourront-ils continuer de faire face aux 16 millions de Bantous qui les entourent ou sauront-ils, au contraire, édifier avec eux une société multiraciale paisible et prospère ? Pour les uns dernier bastion d'un colonialisme abhorré et anachronique, pour les autres ultime rempart où se joue le destin de l'Occident, l'Afrique du Sud est arrivée aujourd'hui, comme l'affirmait récemment son Premier ministre, à la croisée des chemins. Lire la suite
Les exemples de coalitions gouvernementales socialo-communistes dans un passé récent en Islande et en Finlande peuvent-ils être valablement invoqués par les partisans de l'alternance ? Un article du Professeur Maurice Duverger (« Le PCF et l'unité nationale », Le Monde, 18 mai 1974) fournit à l'auteur l'occasion de proposer une réponse à cette question.
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