(1922-1916) Homme politique français. Énarque. En juin 1940, à 17 ans, élève en khâgne à Rennes, il rejoint Londres et la France libre. Il fera la guerre comme lieutenant chef de peloton au 1er Spahis, au sein de la 2e Division blindée (DB). Après la Libération, il fait partie de la première promotion de la nouvelle École nationale d’administration. Il entre au Conseil d’État. Il enchaîne plusieurs postes ministériels, – Information (1968), Postes et télécommunications (PTT, 1967 à 1969) –, avant d’être le ministre des Transports (1973-1974) qui lancera le programme TGV et développera Airbus. Député de la Dordogne de 1962 à 1981, il devient sénateur en 1989 et s’oppose au Traité de Maëstricht. Membre du Conseil constitutionnel, il en assure la présidence de 2000 à 2004. Président de l’Institut Charles de Gaulle de 1999 à 2006.
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Paul-Marie de La Gorce nous a quittés. Lire la suite
Marc, nous nous sommes rencontrés pour la première fois au lendemain de la guerre, en passant les épreuves du premier concours de l’ENA, réservé à ceux qui avaient laissé leurs études pour combattre. Toi, à 19 ans, tu avais franchi la frontière espagnole, et après le traditionnel passage par les geôles de la Péninsule, rejoint l’Afrique du Nord où tu t’étais engagé dans les commandos. Après avoir débarqué en Provence, tu as livré tous les combats jusqu’en Alsace où tu fus blessé en novembre 1944. Ainsi Marc Bonnefous entrait-il à l’ENA promotion France Combattante avec la Médaille militaire et la Croix de guerre. Lire la suite
L’importance du téléphone dans notre monde actuel apparaît à l’évidence. Le besoin d’échange des informations par des moyens rapides et efficaces se manifeste aussi bien dans les domaines politique, économique, social, qu’au plan de la famille et de l’individu, le téléphone y étant maintenant considéré comme un élément de confort normal. Lire la suite
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