Selon le volume à protéger, le coût alloué à la protection mais surtout le type de menace, les technologies de protection revêtent différentes formes. Tandis que la famille des menaces à effet global exige un travail de conception sur l’architecture mécanique de l’ensemble à protéger, la famille des menaces à effet local requiert un effort de modélisation. La maîtrise de la simulation apparaît, quant à elle, comme une priorité à l’heure où le nombre de paramètres à considérer se multiplie. À l’inverse des systèmes de protection active, délaissés du fait de la complexité de leur mise au point, les solutions « matériaux de protection » apparaissent de plus en plus attractives.