Ce plaidoyer engagé pour que la France cesse son dogmatisme nucléaire et prenne la tête d'un mouvement de désarmement nucléaire s'appuie sur l'affirmation de la péremption du concept de dissuasion nucléaire, la crainte d'une prolifération accélérée en 2012 et le coût de possession excessif de l'arsenal nucléaire français.