Au cours de l'année 1972 les pays producteurs de pétrole du Moyen-Orient n'ont cessé d'enregistrer des progrès dans le domaine financier et dans celui du contrôle des réserves. Il en résulte pour certains d'entre eux des surplus financiers fabuleux, créant ainsi des risques de désordres économiques graves. Il s'agit là, estime l'auteur, directeur des relations extérieures d'Elf-ERAP et conférencier familier de l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN), d'une véritable bombe atomique financière. Mais il y a plus grave encore…