L’imposture du Club de Rome
Pamphlet qui cherche à démontrer que la démarche du Club de Rome, fondée en 1968 par l’industriel italien Aurelio Peccei, sous couvert d’une vision lucide et scientifique, ne restitue en réalité, par le détour du mythe, une vision nouvelle du progrès. C’est en ce sens que les membres du Club de Rome se font, pour l’auteur, les apôtres non avoués d’une conception mondialiste et technocratique du monde visant à dépasser les souverainetés nationales. Sans doute le succès de celui-ci et la diffusion si large de ses thèses, peut-elle susciter réserves, doutes, voire jalousies, mais son rôle de promoteur d’idées et d’éducateur ne peut être mis en doute, et Philippe Braillard lui-même ne le conteste pas vraiment. Aucun groupe d’hommes, aucune action n’est totalement neutre, le Club de Rome non plus. ♦