Les réformes structurelles de l’Alliance, décidées lors du Sommet de Prague en novembre 2002, et le développement de ses missions, qui la conduit, avec l’Isaf, à se déployer pour la première fois hors du champ traditionnel de la zone euro-atlantique, posent, avec plus d’acuité, la question de la position de la France. Non-intégrés à la structure de commandement du temps de paix, il nous est difficile de peser sur les orientations voulues par les autres pays membres. L’augmentation de notre contribution budgétaire pourrait consolider notre positionnement.