Au lendemain des attentats aux États-Unis, la presse belge s’étonnait de l’arrestation soudaine d’un suspect tunisien. Il appartenait en réalité à un groupe terroriste identifié de longue date, où, quelques mois auparavant, lors de perquisitions, on avait déjà découvert des faux documents. Dans cette affaire, le journal ne disait pas si le juge avait alors pris la peine d’inculper.