Jamais sans doute, depuis le retrait du service des grands dirigeables souples ZPG3W de la Marine américaine au début des années 60, le retour du « plus léger que l’air » sur la scène aéronautique n’a paru à la fois aussi proche et aussi impatiemment attendu par un nombre croissant d’utilisateurs potentiels. Les plus intéressés, nous dit-on, seraient les spécialistes du transport logistique, confrontés à l’absence durable d’infrastructures routières ou aéroportuaires adaptées dans de nombreuses parties du monde.