D'origine yougoslave, l'auteur maîtrise les langues slaves et russe mais les difficultés de terminologie sont nombreuses car on ne peut trouver d'équivalent exact dans les deux langues. Aussi a-t-il préféré utiliser des termes qui sont souvent des traductions plus ou moins approchées du mot russe, plutôt qu'un terme technique français ayant pour nous un sens précis mais différent du concept soviétique.