À partir du postulat bien connu des militaires, « une mission, un chef, des moyens », l'auteur nous démontre combien la stratégie « militaro-humanitaire », qui donne bonne conscience à tous, est extrêmement risquée : on occulte complètement certains aspects qui devraient être pris en compte dans l'appréciation de situation avant de s'engager. La critique est sévère mais justifiée.