Un bilan très positif nous dit l'auteur, spécialiste des affaires juridiques internationales, en ce qui concerne les matières traditionnelles du droit de la mer, mais beaucoup moins satisfaisant, en raison des positions différentes adoptées par le Tiers-Monde et les pays industrialisés, en ce qui concerne l'exploitation du fond des océans (sur ce sujet, voir les articles du même auteur de juin 1977 et août-septembre 1978) et les pouvoirs de l'Autorité internationale qui en serait chargée.