Les responsables politiques français ont, sous la Ve République, entretenu des relations tendues, voire quasi-inexistantes, souvent teintée de méfiance, avec les services de renseignement de l’Hexagone. De fait, la culture politique et publique du renseignement ne s’est guère développée en France. Aujourd’hui les responsables politiques, côté exécutif comme côté législatif, s’intéressent davantage au renseignement, à ses modes d’action et à ses hommes. L’auteur analyse cette réalité française.