Groupe d'étude et de recherche sur la stratégie soviétique, Fondation pour les études de défense nationale (FEDN). En ont (notamment) fait partie : René Cagnat, Alain Coutrot, Henry Cuny, K. Feigelson, J. Maillard, Hubert Morelle, R. Noulens, Henri Palacio, Henri Paris, N. Pilhes, Daniel Pineye, Alain Prechac, Lydia Rolland, Jean-Christophe Romer, Jacques Sapir, N. Simon, Anita Tiraspolsky, G. Wild et Salomé Zourabichvili. Ils ont été réunis sur la base d’une formation diversifiée, ce qui donne un ensemble pluridisciplinaire mais ont en commun la connaissance de la langue russe et d’autres langues slaves, ce qui permet une recherche approfondie à partir des textes originaux.
5 résultats (5 articles - 0 Tribune - 0 e-Recension)
Le Groupe d’études et de recherches sur la stratégie soviétique (GERSS) est un groupe pluridisciplinaire de la Fondation pour les études de défense nationale (FEDN), qui s’attache à analyser et approfondir la problématique de l’URSS à partir de sources soviétiques de diffusion ouverte. Il est actuellement composé de : K. Feigelson, J. Maillard, Hubert Morelle, R. Noulens, N. Pilhes, Daniel Pineye, Jacques Sapir, N. Simon, Anita Tiraspolsky, G. Wild. Lire les premières lignes
Le Groupe d'étude et de recherche sur la stratégie soviétique (GERSS) présente la particularité de réunir une équipe de formation pluridisciplinaire dont les membres ont en commun la connaissance du russe et d'autres langues de l'Est, ce qui permet l'utilisation de sources originales. Il ne pouvait manquer de s'interroger sur les implications stratégiques de l'arrivée au pouvoir de la gauche en France.
La question de l’Afghanistan est à l’ordre du jour et il a paru intéressant au groupe de procéder à une étude de la question. La thèse esquissée s’écarte quelque peu de ce qui a été avancé jusqu’à présent en Occident. La veille de Noël 1979 les troupes de l’armée soviétique pénétraient en Afghanistan à la suite d’une action aéroterrestre rapide, puissante et décidée. Malgré les raisons invoquées, ou plutôt à cause de leur inconsistance, le monde presque unanime se demandait, à la suite des États-Unis, si la politique de détente était délibérément abandonnée par les dirigeants du Kremlin ou bien s’il s’agissait d’un accident de parcours ne remettant pas fondamentalement en cause le cours de la coexistence pacifique, du moins dans l’esprit des autorités soviétiques. Lire la suite
Défense Nationale a publié, en août-septembre 1978 (contre-amiral Sevaistre, « La dissuasion : théorie ou situation de fait ») et en février 1980 (Georges Outrey, « Les doctrines stratégiques des deux Grands ») deux articles sur des sujets assez voisins. Ces deux articles présentaient le même inconvénient, celui de ne faire référence qu'à des travaux américains ou à des traductions américaines de documents soviétiques. Le groupe d'étude et de recherches sur la stratégie soviétique, qui dépend de la Fondation pour les études de défense nationale, a le très grand avantage et le très grand mérite de puiser directement aux sources soviétiques les plus autorisées et les plus connues. Son sujet est également plus étendu puisqu'il traite également de la doctrine française de dissuasion. Lire les premières lignes
5 résultats
Colloques, manifestations, expositions...
Institutions, ministères, médias...