La Jordanie est un État-clé du Proche-Orient, bien qu’il soit l’un des moins bien doté en ressources naturelles. Monarchie respectée mais fragile, le Royaume doit composer avec sa structure tribale qui joue un rôle majeur dans son fonctionnement tant pour affronter la question du développement que dans ses relations avec les États voisins.

La Jordanie est un État-clé du Proche-Orient, bien qu’il soit l’un des moins bien doté en ressources naturelles. Monarchie respectée mais fragile, le Royaume doit composer avec sa structure tribale qui joue un rôle majeur dans son fonctionnement tant pour affronter la question du développement que dans ses relations avec les États voisins.

La Jordanie est un État-clé du Proche-Orient, bien qu’il soit l’un des moins bien doté en ressources naturelles. Monarchie respectée mais fragile, le Royaume doit composer avec sa structure tribale qui joue un rôle majeur dans son fonctionnement tant pour affronter la question du développement que dans ses relations avec les États voisins.

La Jordanie est un État-clé du Proche-Orient, bien qu’il soit l’un des moins bien doté en ressources naturelles. Monarchie respectée mais fragile, le Royaume doit composer avec sa structure tribale qui joue un rôle majeur dans son fonctionnement tant pour affronter la question du développement que dans ses relations avec les États voisins.

Le Yémen est en décomposition accélérée avec la confrontation entre un système étatique qui n’a pas su trouver sa légitimité et un système tribal et clanique qui répond aux aspirations contradictoires des peuples yéménites au final peu soucieux de constituer une « Nation » selon nos critères occidentaux.

Le Yémen est en décomposition accélérée avec la confrontation entre un système étatique qui n’a pas su trouver sa légitimité et un système tribal et clanique qui répond aux aspirations contradictoires des peuples yéménites au final peu soucieux de constituer une « Nation » selon nos critères occidentaux.

Le conflit qui se déroule en Syrie et en Irak ne doit pas être regardé avec nos critères occidentaux, mais en se référant à une complexité multiculturelle où les protagonistes s’affrontent selon des approches souvent contradictoires et rattachées à des perceptions antagonistes du monde, des sociétés et des relations entre peuples.

La fin du siège de Kobané (bataille ô combien symbolique) a permis d’enclencher une spirale positive pour la coalition anti-Daech qui s’est désormais lancée à la reconquête du Rojava (le Kurdistan syrien). Tenir face aux contre-offensives de Daech mais aussi face au régime syrien qui souhaite reprendre la main dans la région et gérer, sur le long terme, les acquis territoriaux sera tout aussi compliqué pour cette alliance variée (YPG, Peshmerga, ASL) soutenue par la coalition internationale.

Le conflit qui se déroule en Syrie et en Irak ne doit pas être regardé avec nos critères occidentaux mais en se référant à une complexité multiculturelle où les protagonistes s’affrontent selon des approches souvent contradictoires et rattachées à des perceptions antagonistes du monde, des sociétés et des relations entre peuples. Lire les premières lignes

Les récents affrontements entre le Hezbollah et Israël montrent un raidissement des attitudes de part et d’autre. Les frappes ciblées de ces dernières semaines laissent cependant entrevoir une minimisation de l’escalade. Dans un environnement de plus en plus instable, aggravé par la montée en puissance de l'État islamique, tout dérapage majeur doit être évité tant par le Hezbollah que par Tsahal, même si les gesticulations restent indispensables pour maintenir un statu quo régional.