(1903-1989) Général français. Saint-Cyrien. Officier de Légion et breveté avant-guerre, il commande le Bataillon de Choc en 1943, puis la demi-brigade de Choc, à la tête de laquelle il libère Belfort. Il rejoint l’Indochine avec de Lattre, qui lui confie la zone des Évêchés. Rapatrié pour suivre le Centre des hautes études militaires (CHEM) et l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN), il retourne en Indochine comme chef d’état-major du général Navarre. Nommé général en 1955, il commande le Corps d’armée (CA) d’Oran en 1959, avant d’être nommé commandant supérieur interarmées en 1961, comme général d’armée et de prendre de plein fouet le putsch des généraux. Il oriente ensuite sa carrière vers la réflexion et la pensée militaire. Il est élu membre de l’Académie des sciences morales et politiques en 1984.
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L'auteur a déjà exposé des vues originales sur la dissuasion et la stratégie indirecte dans son essai paru chez Pion en 1967 : L'épée de Damoclès. Il nous a paru intéressant de livrer à nos lecteurs ses réflexions prospectives sur l'avenir de la dissuasion au moment où s'ouvraient les conversations américano-soviétiques d'Helsinki. Les auteurs publiés dans nos colonnes expriment leurs opinions personnelles qui ne reflètent pas nécessairement celles des instances officielles. Lire les premières lignes
En 1960, les personnalités représentatives de l’Université, de l’Armée et de l’Industrie s’étaient réunies pour confronter leurs idées sur la formation des cadres. Depuis cette date, des tendances et des inquiétudes nouvelles se sont fait jour. C’est pourquoi il fut jugé utile, en 1963, de compléter l’effort du précédent colloque. Trois réunions eurent lieu dans ce but, d’abord à l’École Militaire, enfin à Jouy-en-Josas. On y adoptait le même thème qu’en 1960, sous quatre aspects : Lire la suite
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