Capitaine de vaisseau, il a été professeur d'état-major à l'École supérieure de guerre navale puis responsable du cycle « stratégie » au Cours supérieur interarmées.
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Avec la proposition, faite lors de la conférence « Euromed » tenue à Barcelone en novembre 1995, de développer un partenariat euro-méditerranéen, et devant les pressions politiques qu'elle entraine de la part des pays européens, ceux du Sud et de l'Est de la Méditerranée sont de plus en plus pris dans une contradiction dont ils cherchent à sortir en refusant de se laisser imposer des choix qui ne seraient pas pleinement les leurs. Circonspects quant aux avantages que leur font miroiter les pays européens, ils sont de plus en plus nombreux à rechercher une troisième voie qui les libérerait des risques qu'ils voient poindre derrière les choix opérés en Europe et que cette dernière les incite à adopter ; mais existe-t-il une chance de développer une voie origine dont ils puissent attendre à la fois la stabilité et la prospérité ? Telle est la question qui se pose notamment à la Tunisie. L'article qui suis, rédigé à l'occasion d'un colloque organisé à Tunis à l'automne 1999, tente de définir ce que peut être une troisième voie. Lire les premières lignes
L'auteur a été professeur d'état-major à l'École supérieure de guerre navale, et à ce titre chargé de l'enseignement de la méthodologie et de la stratégie. Il est actuellement responsable du cycle « stratégie » au Cours supérieur interarmées. La « méthode », que l'on apprend et pratique dans les écoles de guerre depuis plusieurs décennies maintenant, nous est ici présentée de façon particulièrement claire et complète.
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