Attachée de recherches à la Fondation nationale des sciences politiques (Centre d’études et de recherches internationales).
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Décidé en décembre 1973 et apparaissant alors comme une retombée directe de la guerre d'octobre et de l'embargo pétrolier imposé par l'Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole) aux Occidentaux, le dialogue euro-arabe n'a cependant formellement débuté qu'en juin 1975. Il se poursuit actuellement entre la Communauté économique européenne (CEE) d'une part, la Ligue arabe d'autre part ; par ailleurs, la Commission générale du dialogue s'est réunie récemment ci Damas, du 9 au 11 décembre 1978, pour la quatrième fois. Quel bilan peut-on provisoirement dresser des résultats de ce dialogue ? Les péripéties qui ont entouré son démarrage effectif expliquent-elles les incertitudes qui demeurent quant à ses orientations et à sa fonction ? Lire la suite
Bénéficiaire de l'élargissement de l'Europe, la Grande-Bretagne ne semble guère tenir à son approfondissement. La majorité de « oui » dégagée par le référendum de juin 1975 recouvre en fait des motivations et des intérêts variés, ce qui explique les réticences anglaises à l'égard de l'union économique et monétaire et du renforcement des institutions européennes. Qu’attend donc la Grande-Bretagne de cette Europe inachevée ? En fait, le Labour lui-même serait bien en peine de donner une réponse unanime à cette question. L'auteure, attachée de recherche au Centre d’étude des relations internationales (Fondation nationale des sciences politiques), a publié de nombreuses études sur les problèmes de l'adhésion de la Grande-Bretagne aux Communautés européennes.
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